deuxième version

Les femmes se dénudent et montrent leurs gros seins.
C’est le temps de la plage où l’on tourne la page,
Des enfants turbulents, des pères bons à rien.
Moi je les regarde, je voudrais être sage…

Mais elles se dénudent et j’ai aussi leurs fesses.
Le string est démodé, il n’y a plus de laisse.
Sur le sable brûlant, dans un désir ardent
Je me trouve figé jusqu’à la nuit des temps !

Je me souviens pourtant d’une rose sereine
Qui jadis m’émouvait sans se donner de peine :
On se prenait la main, c’était déjà demain.

J’étais sa chose autant qu’elle m’appartenait,
Pas d’overdose ayant, quand c’est l’amour qui naît,
De pouvoir plus certain qu’un futur incertain.

 

 

première version

Les femmes se dénudent, elles montrent leur gros seins :
C’est le temps de la plage où l’on tourne la page.
Les enfants s’égosillent et les pères ne font rien.
Moi je les regarde, je voudrais être sage…

Mais elles se dénudent et j’ai aussi leurs fesses ;
Le string est démodé, il n’y a plus de laisse.
Sur le sable brûlant, dans un désir ardent
Je me trouve figé jusqu’à la nuit des temps !

Je me souviens pourtant d’une chose sereine
Qui jadis émouvait mes sens comme une reine :
On se prenait la main, c’était déjà demain.

J’étais autant sa chose qu’elle m’appartenait,
Pas besoin d’overdose quand c’est l’amour qui naît.
Tous ces corps dans le train d’un futur incertain…

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