C’était l’autoroute des vacances
Aujourd’hui qu’elle ambiance
Plus de voitures sur les routes
Frolerait-on la déroute ?
On révait de sommets enneigés
Pourtant au loin tout semble asséché
Les brindilles sont brulées
La montagne est saccagée.
On s’est bougé trop tard
Bienvenue dans ce cauchemar
C’est l’heure du grand départ
On a foutu le bazar
La nature semble morte
Plus de neige mais qu’importe
Ce constat nous conforte :
C’est l’heure pour l’homme de prendre la porte
Il ne reste pourtant que toi
Solo en voiture pour constater les dégâts
Arrivé tout en bas
Tu lui fais ton “mea culpa”.
bravo 😉 un joli moment de lecture.
Oui, j’aime beaucoup ce texte très engagé et tristement réaliste. Bravo.