D’une blessure large et creuse, je suis née.
Coquillage perdu sur les rives de la naissance, mollusque dans ton ventre, je mettrai mon orgueil à chanter tes louanges, ô mer, ô mère.
De rafraîchir l’enfer allumé dans ton coeur, la noirceur parfumée de la fossse d’Ariane aux sources souterraines tièdes en ton coeur, je te rejoins,
Un horizon sanglant forme de toute part, argile rouge sur fonds bleu, ta blessure liquide.
Énigmatique… Tout semble ouvert et fermé à la fois.
“Hyper poétique” selon moi… Trop réaliste aussi pour ma “petite” sensibilité…
Comme vous n’avez pas donné d’indication (dans vos paramètres de profil) sur votre tolérance à la critique (…), j’en profite : le deuxième “cœur” de la 3ème strophe (selon ma lecture) fait à mes yeux répétition un peu lourde… Dommage. C’est vraiment la seule critique que je puisse faire…