Homme, nul n’a sondé le fond de tes abimes

Femme, je caresse sans douleur la surface de ses parties intimes

Nous avions un été semblable

Nous aurons un hiver lamentable

Se pâmer sous son oeil comme un cœur qui palpite

Nous fiancer au bord de ton cercueil, préférer le giron qui t’habite

Au début d’un sentier, une charogne infâme

Au bout de ton chemin, me voici belle femme

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