debout il regardait la mer
la mère le regardait
Ses deux bras étaient nus, sa tête, découverte
son cœur chavirait doucement devant ce lac limpide
et le froid l’envahit quand l’enfant la regarda
il courut sur le sable mouillé
posa sa tête sur ses genoux
parla calmement de son cœur tendre et fidèle
elle pleura doucement
L’enfant charmait déjà, par son naïf langage,
mais à l’horizon des mots pointait sa cruauté future
elle frémit de tristesse et de désespoir…
Bienvenue Zélia! Jolie manière de rentrer dans l’algomuse🙂.
Cette poésie est étonnante car elle révèle tout le charme et la douceur de l’enfant et la part sombre à venir du « petit d’Homme ». Bravo
Un beau moment de sensibilité maternelle et maritime teinté de mystère.
Bienvenue parmi nous, Zélia.
Cruel, comme un piège oublié qui se referme sur cette main qui voulait juste y cueillir quelques fleurs, pourtant si belles .
Merci, pour la couleur de vos mots
Texte plein de poésie.
Terrible chute pour ce joli texte empreint d’une grande sensibilité, bienvenue sur l’AlgoMuse 😉