Le Dieu Pétrole
La civilisation s’enfuit dans le néant,
Le pétrole jaillit depuis un trou béant
Que l’homme avait foré dans le cœur de la Terre,
Avec pour destinée, rien de bien délétère :
Il s’agissait, tout bon, de remplacer Vapeur,
Dans le creuset qui fond l’énergie en douceur.
Tout n’était que promesses, ainsi qu’à la grand messe,
Tout se ferait prouesse, disait la déesse…
Miracle s’est produit, l’humain s’est reproduit,
Et il l’a si bien fait qu’on ne le compte plus.
Il ne reste de lui qu’un souvenir réduit.
Un soleil s’est levé, enrubanné de soir
Il peine à se montrer, comme s’il avait plu,
Et me promet la nuit et le silence noir…
Et qui va trouver le vers de 13 pieds niché dans ce treizième sonnet ? 🧨🧨🧨🧨🧨🧨🧨🧨🧨🧨🧨🧨🧨
MDR ! Alors, où est-il ce traître ?
C’est bon, j’ai trouvé 😉
“Tout se ferait prouesse…”
Corrigé, changé aussi un peu la ponctuation (du fait de la correction);
Merci @melanie chaine 🙂