Tout ici respire la douceur
tout est serein.
Pourtant déjà l’été
décline ses senteurs
enferme les secrets
et tait
le trop de ses couleurs.
Une trace se meurt,
on dirait que le soir est proche.
Patiemment attendons
le retour des bourgeons.
Très joli poème, concis, printanier (cela fait du bien par cette tempête qui nous secoue ces jours-ci).