L’homme, pour tromper le sommeil, lit :
… dans le pays des Touaregs, au milieu d’une mer de sable, les vaisseaux du désert portent leurs lourdes charges. Le soleil étincelle et …
L’homme, seul dans la nuit, tout en haut de son phare battu par les embruns, pose son roman et se met à penser. Mer … vaisseaux … soleil …
L’homme s’endort bercé par le son des vagues et le rythme de la lumière gardienne dans la nuit.
Son rêve l’emmène dans une fraîche oasis. Il sirote un brûlant thé à la menthe. Il est gardien de phare et domine cette mer ondulante et dorée que traversent des caravanes de méharis.
C’est très poétique. La “fraîche oasis” évoque quelque chose qui me remue à l’intérieur… J’aime beaucoup votre texte.