Tourbillons de feux
Les cyprès arrogants
Se dressent dans le vent
Écorchent les nuages
Pour attiser l’orage
Des tourbillons de feux
Illuminent les cieux
L’horizon s’obscurcit
Dans les braises rougies
A perdre la raison
Mon âme est en prison
Dans la cendre enfouie
Je cherche en vain l’oubli
A grands coups de rayures
Effacer mes blessures
J’ai lacéré la toile
Et trouvé les étoiles
Apaisement fugace
Et la crise menace
Un cerveau en déroute
Plein d’angoisse et de doute