Dans le silence inquiétant de cette torpeur estivale, les herbages ont jauni et ne servent plus de fourrage.
Tout brûle, tout fond, sous ce soleil de plomb.
Les troupeaux cherchent l’ombre, le ruisselet s’est tu.
À peine un murmure, nul pas sur le chemin.
On rêve de fraîcheur, on appelle le ciel, que vienne enfin le soir et que souffle une brise.
Les corps sont éreintés, la nuit vient de tomber.
On en remet la garde aux chiens veilleurs des cours.
Jolis rythme et musicalité.
Merci Silki Houette, merci à tous de ce gentil accueil. J’ai commencé à lire vos textes aussi, ils sont très beaux, très personnels. À bientôt et un très bel été.
J’aime la simplicité des mots et les phrases courtes.
Merci, c’est gentil, j’ai commencé à lire vos textes aussi et les ai bien aimés. Je trouve la communauté d’AlgoMuse active et accueillante, c’est très plaisant.
Savante simplicité des images qui posent bien cette atmosphère de torpeur!
Bienvenue Sklaera (j’aime la clarté de ce nom) sur l’Algomuse et bravo pour les défis déjà transformés.
Merci Fransoaz, pour ce gentil message et j’ai déjà lu de très beaux textes de ta plume ces deux derniers jours. Je découvre avec bonheur AlgoMuse et me réjouis de prendre ce petit temps quotidien pour écrire à nouveau.