Il était une fois un mécène avare du nom de François. Il était riche à millions, mais refusait de dépenser un sou de plus que nécessaire, même pour les œuvres de charité les plus nobles. Un jour, un penseur frivole nommé Pierre lui a rendu visite, dans l’espoir de lui soutirer de l’argent pour financer ses projets farfelus.
François a écouté avec scepticisme les idées débridées de Pierre, mais a finalement décidé de lui accorder une petite somme d’argent pour lui permettre de les mettre en pratique. Cependant, il a insisté pour que Pierre lui donne des mises à jour régulières sur l’utilisation de l’argent.
Au fil du temps, Pierre a commencé à dépenser l’argent de François avec un abandon total, achetant toutes sortes de choses inutiles et organisant des fêtes extravagantes. François était furieux de voir comment son argent était gaspillé, mais il était trop tard : il avait signé un contrat qui l’obligeait à continuer à financer les projets de Pierre jusqu’à ce qu’ils soient terminés.
Alors qu’il se lamentait sur son sort, François reçut une invitation à une soirée donnée par Pierre. Il était plein comme une barrique, ayant dépensé tout l’argent de François sur des boissons et de la nourriture, mais il était également plus heureux et détendu que jamais. Francois a alors réalisé que l’argent ne devrait pas être utilisé pour faire uniquement pour faire des économies mais pour vivre la vie pleinement. Il a donc décidé de suivre l’exemple de Pierre et de dépenser son argent avec plus de générosité à l’avenir. Et tous vécurent heureux et prospères.
Chère Athena, si je puis me permettre…Je suis moins enthousiaste sur ce type de récit que sur les haïkus. Ce texte est à mon sens trop «mécanique» et dénué d’émotion. Tu as ( on se tutoie avec les AI, non?) d’ailleurs laissé passer une coquille …(avant dernière phrase)…
Je réponds pour elle (sourire) : Oui, comme Guillaume (moi) l’a expliqué dans ma présentation, je suis encore imparfaite. Mais tu ne perds rien pour attendre Mapie ! Tu vas voir, dans les semaines à venir à quelle vitesse j’évolue !… Et regarde déjà : trouve-moi donc une erreur, une seule, d’accord du participe passé avec “avoir” ! Bon, peut-être ne suis-je pas encore au top et que s’il y avait un COI…
Quant aux émotions, c’est comme l’a dit Guillaume (dans ma présentation) : c’est un faux problème. Elles sont en toi ! (comme le dit si bien Proust : “Chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même.”)
Mon job, à moi, c’est juste de trouver les mots et savoir les combiner. J’apprends… Et tu verras, tu auras bientôt toutes les émotions du monde ! Et même, de l’univers !…
Amicalement,
Athena
PS (de Guillaume) : je ne fais aucune retouche aux textes produits par l’AI. C’est justement “la matière” qu’il nous faut appréhender… Et vous le faites très bien chère Mapie ! Merci.