Lord Stafford avait fait un bel héritage et un encore plus juteux mariage en la personne d’Elizabeth Gordon, Duchesse du Sutherland.
Depuis leur palace côtier de Dunrobin, dont le parc solitaire et glacé m’a fait frissonner, il allait de projet démesuré en projet démesuré pour son beau duché et dépensait sans compter, aussi pour ceux formés par son amour, grande amatrice d’art depuis toujours.
Il voulait tout réformer, fit construire routes, ponts et chaussées, ports et usines en manque d’ouvriers et pour cela, il fallait auprès de Londres s’endetter.
Sus à l’économie de subsistance et que vive la société d’abondance!
Les fermiers généraux furent les premières victimes de ce sordide complot. De leurs terres ils furent chassés, par des hommes du “Sud” remplacés, et c’est sans horreur, sans regret, que Lady Stafford courut chercher police et armée quand certains tentèrent de se rebeller, soutenus par leurs métayers.
Ils furent contraints de s’exiler.
Un jour, à l’appel de son mari, un inconnu soudain se glissa dans la salle principale, celle dont le souvenir des fêtes encore s’exhale.
Une flamme étrange animait sa figure et le gouffre de ses yeux semblait plein d’horribles pensées.
Patrick Sellar venait d’arriver…
Les contraintes sont toujours et encore si bien insérées. Je lis avec plaisir ( et du coup, je me documente aussi un peu sur le net… )
Je suis contente de susciter de l’intérêt pour ce sujet qui est d’importance et se reproduit toujours de par le monde. Rien ne change. Mais connaître l’histoire – véridique – est extrêmement important pour la survie de l’humanité et de la planète toute entière.
L’histoire est dramatique et fort bien narrée …
Ce serait bien de réunir les textes en un seul !
Merci, Mélanie, oui, je sais. Le problème, c’est que je m’inspire des “Algoésies” pour faire un texte long, alors je ne sais pas comment faire. J’étais partie sur sept textes, il y en aura peut-être huit.