Par tes poses langoureuses,
tu te montrais amoureuse,
éteignant la mèche au soir,
tu nous plongeais dans le noir
et plaquait tes douces lèvres
sur mes rêves.
Le poison de ton baiser
sur mon âme se posait,
et je bus, de tout mon soûl.
Je voulais que le temps coule
sur ma fatigue, s’évapore
sur mon corps.
La nuit est percée de coulisses
qui, d’étreinte en étreinte, glissent
entre les draps. Elle le sait,
C’est la son charme et son secret.
La danse de vos mots
Dans l’ éveil d’un matin d’automne, dans la douce chaleur de l ‘âtre ,quand dehors les feuilles virevoltent et invitent vos mots dans la danse, dans cet instant du temps,furtivement, je les vois .
Merci
Merci pour ce joli retour.