Le feu poursuit la foule et sur les toits s’allonge,
Une tranquillité que la ruche envie,
Ils ne sont que dans le mensonge.
Je sors la tête par la fenêtre et maudis,
Tous les passants fous et impulsifs.
Ils oublient la beauté qui les attends,
Et préfèrent faire des achats compulsifs,
Ils oublient de lâcher leurs écrans.
Le feu soupire,
Ce n’est pas ce soir,
Qu’il va réussir à anéantir,
Le grand désespoir,
Le poison de la foule.
Le toit lui,
Attend patiemment,
D’être accompagner par autrui,
Pour vivre paisiblement.
Passants anonymes, fièvre acheteuse, vous décrivez bien là une société qui oublie de regarder les toits. J ai bien aimé