Une biochimiste, Katalin Kariko, travaille sans relâche sur l’ARN Messager pour trouver une réponse au traitement du Sida. Ses pairs boudent ses travaux. Elle est même rétrogradée au simple titre de chercheuse et ne peut atteindre le professorat.
Mais rien n’arrêtera Katalin Karico sur sa paillasse pas même sa ” mise au placard “.
En 2013, elle intègre le laboratoire BioNtech.
En 1990, elle reprend ses travaux sur les vaccins. Naitront deux vaccins, le Pfizer et le Messager, qui participent grandement à l’éradication de la pandémie qui bouleverse actuellement le monde entier : la covid 19. On se doit de féliciter cette chercheuse pugnace malgré toutes les barrières qu’elle a trouvé dans sa vie professionnelle.
Etant reconnue dans le monde scientifique, elle peut poursuivre ses travaux sur l’Arn Messager pour trouver une réponse à d’autres maladies (cancer, diabète, etc). ” Elle sauvera le monde ” lit-on dans les journaux.
Rien ne peut arrêter un scientifique qui croit fermement aboutir dans ses recherches. La vie de Katalin Karico nous en fait la démonstration.
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Bravo! Vous faites, à mon sens, démonstration de l’absurdité de la citation… Rien (!) ne peut arrêter la science. L’Histoire ne le montre-t-elle pas? Faut-il rappeler Galilée, Darwin, et tant d’autres? La science est têtue. Elle avance, elle avance…
Aucune autorité ne peut arrêter la science. C’est créer une relation de causalité entre les deux que de le croire. Or, une telle relation ne peut exister que dans la sphère sociale. Le problème, c’est que la science ne peut être contingentée à cette seule sphère sociale… (Etc.)
Quant à la citation de Gustave le Bon, soyons prudents car isolée de son contexte elle peut signifier l’inverse de son intention première…