– « Les meutes sont de feu
Ô que voici ! Bienvenue ! monologue en hérésie !
A moi, une vie aux hideuses paroles
Parmi les camouflages, l’esprit en est la teinte ;
Selon quelles mesures de foncés suis-je ?
A quel degré s’enrage ma crainte ? »

Car ayant de mauvaises volontés dupe,
Chaque rang d’écoute est vicié :

– « Que faites vous quand, trompés par des vents de braises
La fleur est comme une lame acérée
Dans le coloniale jardin des larmes
Chaque faction se fait bouquet, tourmente des compositions
A même la paume apposée.
Étant donné ma mort vous viviez d’abondante fourrés »

Il entend dans le tumulte de leurs hurlements incarcérer
Que son ”silence” fait débat !

L’auditoire choqué rend l’orateur atterrer.

– « Par une piètre épine dans l’œil, vous avez,
Mis vos âmes en fusils pointés
En mire sur votre propre et infantile espérance
En joug ! enfant cupide de votre niaise voracité…
S’en est-il ainsi ? »

Ma mise a mort ne va pas tarder
Je mène une danse, alors que peu de temps vienne de s’écouler
Et fut mis sur leur traitre bucher :

– « A ce carnage fut une amer saison
J’offrais mon alchimie non tel une anarchie !
Cette flamme s’approche pour que la paix
A pleine vivacité cède sa place, place des tortionnaires moroses
Tirant sale injures par la guerre contre les blessantes vérités »

C’est ainsi que repose dans l’écorchure à mon cœur,
 ‘’L’émeutière aux cheveux incandescents’’
Et jamais personne d’autre ne remplacera les ronces laissées ainsi envoutant est le plus pur mescal…

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