Voilà que j’ai touché l’automne des idées,
je m’ sens l’âme flétrie, le cœur anesthésié.
Mais si autour de moi, la vie recommençait
J’y prendrais part, sans doute, le plexus noué.
Car je garde ma place, je n’saurais oublier
la douceur de l’été, les bonheurs du passé.
L’hiver promet sans doute quelque félicité
que sous aucun prétexte, je ne saurais manquer.
Et que vienne la vie, que m’emplisse d’espoir
la présence de ceux que je ne peux plus voir
Car ici; là; présents près de moi comme hier…
Ils sont devenus printemps éternels sur la terre.
Poème empli de nostalgie et d’optimisme mêlés.
vos écrits m’ont manqué cet été…
Merci Mélanie. L’été a été un peu compliqué, je n’ai pas trouvé le temps (ou l’envie) d’écrire, mais cela va revenir. Cela revient toujours😉
Magnifique poème un tantinet mélancolique
Ma pie si vous vouliez un retour discret, c’est manqué…
Ah, voici donc @Ma Pie revenue, avec son beau talent… Quel beau texte, je reviens demain je pense, nous étions au vert tous les week-ends et sinon au travail…