De la théorisation conceptuelle du climat
“Syndrome” est singulier, “symptômes” ne l’est pas.
La chaîne de valeur nous garde du faux-pas,
Mais l’un l’autre cousins, comment les séparer
Sans déchirer déjà la logique hébétée
De rationalités maintes fois répétées ?
Le banquier de juger : “Pas question d’arriérés !”.
Le climat s’en va, sombre, ailleurs chercher repas
Qui puisse le nourrir juste avant le trépas.
Passe un écologiste, il remet une couche,
Rien n’est trop beau pour lui, il fait feu de tout bois,
Théorise l’action tout en chassant les mouches.
Passe un capitaliste, il se proclame éthique,
Tout est trop cher pour lui, il n’est pas aux abois,
Thésaurise l’action tout en cachant ses tics.
Merci @melanie chaine !
“Nourrir”, 2 r, bien sûr…
Et les tiques (dans le dernier vers), étaient bien des tics !
C’est corrigé 😉
Merci encore.
Et voilà, c’est bien ça encore une fois… @Guillaume du Vabre ( @algo ), promettez-moi d’aller jusqu’au bout de votre projet. Le problème, c’est que, du coup, je n’examine guère la forme (mais du reste, en ai-je le droit?). En tous cas, 🎩 bas patron.
J’irai jusqu’au “bout” des cent ! Promis juré Sklaera !
Probablement au-delà… Il en faudra plus que cent pour en faire cent… C’est certain.
Nous n’avons jusque là que des “premiers jets”… Je crois que le climat mérite mieux que ça. Comptez sur moi.
Quant à critiquer, à participer, vous n’imaginerez jamais combien je rêve que chaque Algomusienne (et chaque Algomusien, accessoirement…), s’en donne le droit ! (votre terme…)
Bien amicalement,
G.