Le sonnet qui dérogeait…
Sous la dent sans pitié du démon qui le mord,
L’homme se fait Shadock et combat ses Gibis.
N’acceptant moindre troc il étend son emprise
Jusqu’aux aires glacées du félon Pôle Nord.
Il en pompe, vautour, toute l’eau qui vaut or,
Et il part, sans détour, rejoindre son urbis,
S’écrouler chaque jour un peu plus sous la Bise,
Et du sang des glaciers… fait minables trésors.
Un dessein animé, un dessin abîmé,
Un destin malmené… un défunt, annoncé ?
L’ennemi du climat, l’homme n’est pas vraiment :
Je déroge et déroge, s’agit-il de l’homme ;
Mais l’homme n’est-il pas, eh bien, finalement…
D’abord et avant tout, propre ennemi de l’homme !?
L’homme, sur terre… Il y a tant à dire, et vous le faites très bien.
Entièrement d’accord avec la conclusion : L’humanité est avant tout son propre ennemi. La Terre se remettra sans doute très bien au fil du temps de nos grosses “bêtises”, lorsque dans …? ( 5000 ans ? ) nous ne serons plus là…Mais serons en train d’entasser nos sacs poubelles sur d’autres planètes…
et bien c’est vrai vous me rappelez que je nous sens très gabuzomeu dans nos efforts contre le réchauffement climatique…
et même en souscrivant à la philosophie du colibri