C’est l’amertume 

C’est l’amertume, envahissant le jour

Quand fuit l’amour qui reste sur sa fin

Un air subtil, un dangereux parfum

Un cœur blessé sans carte de séjour.

Hier encore ils chantaient : pour toujours 

Mais dans l’amer se noient tous les chagrins

Un air subtil, un dangereux parfum

Et plus jamais ne seront troubadours.

6
0
L'auteur-trice aimerait avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x