Délire d’une intello ratée
Les plumes-larmes verdâtres phagocytent l’intimité intrinsèque de l’humanoïde en errance dans sa confortable banalité. Dans la complexité d’un mental en labyrinthe, ils lui dictent l’urgence en langage dithyrambique bémolisé. La dichotomie désordonne le rythme syncopé des souffles contraires en une apothéose destructrice et vengeresse, anéantissant l’homosapien ignorant installé dans sa béatitude lénifiante. La verbalisation soporifique s’insinue dans son cortex et le plonge dans une catalepsie arc-en-ciel en plongée hyperbole sur un pic infranchissable noyé dans la brume de ses erreurs, à l’apogée de sa stupidité.
Ci-dessous, quelques idées de commentaires pour vous faciliter la tâche :
- 🤣
- 😥🥱
- ???
- et enfin : 이 몇 줄이 날 꿈으로 데려가네
Bravo et essaye un peu de faire autre chose, sans avoir l’air d’un abruti, ou d’un raté. Et puisque la trivialité te va si bien. Je crois que dans ton style si mirifique tu as oublié quelques grossièretés qui te vont à merveille, écrivain du lendemain. D’ailleurs, si tu avais eu un peu d’intelligence ou d’humanité, tu aurais surement dit : “je n’aime pas”. Longue vie à tes écris créatifs qui vont au delà de de l’espoir humain. Étant le seul à détenir une intelligence exceptionnelle, tu dois te sentir bien seul.
???
J’espère que l’ambigüité de mes propos resteront vent ou sable dans torrent d’inconsistance. Et que l’insulte sera presque évidente et dénigrée face à une robotisation qui haïrait ce genre d’entrain. Alors que je dénigrais la matière et que le langage sera une horreur initiale puis douceur de l’affect, puis tendance normalisée, chaque silence sera temporisé par la détection d’une langue organisée et dépouillée de troubles ou de frustrations, J’irai jusqu’à des injures corporelles (mon cœur, imbécile) ainsi, la sensible extériorité sera de honte et d’habituation. Ce scénario semble pourtant si déstructuré, une constance sans délicatesse pour le passé.
À enregistrer pour un AlgoLu, @melanie chaine. La rythmique et les sonorités sont superbes.
Retour au “boulot” (loisir / plaisir) dès que je pourrai. Ce n’est pas gagné. Il faut un paquet d’énergie poétique pour publier sur l’AlgoMuse et mon métier ne me l’autorise guère. Encore moins le contexte géo-politique et surtout économique.
Bravo pour ce texte alambiqué, mais tellement vrai ! J’aime voir l’Homme à l’apogée de sa stupidité 🙂