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L’addiction, c’est une malédiction. Être emprisonné dans la vie d’un autre, ne pouvoir résister, ne pouvoir se libérer de cet autre qui nous habite et nous enferme à la fois, c’est une malédiction.
Dès lors se pose la question : qu’est-ce qu’une malédiction ? Sinon, l’autre question : sommes-nous vraiment cet “autre” ?
Faut-il choisir entre ces deux questions ? N’y a-t-il d’autre manière de poser ce problème ?
La systémique de la complexité nous dit que les deux se posent en même temps, se combinent même. Mais la systémique gouverne-t-elle notre vie ?
Oui. Elle la gouverne. Ou plutôt, non, elle ne gouverne rien ; elle explique.
Cette dernière question est donc sans intérêt. Elle en masque une autre, autrement plus importante : celle de l’importance que nous donnons à notre vie, au vu, éventuellement, d’une science ou d’une autre, qui nous en rendrait l’intelligence plus immédiate, plus aisée.
Mais vient alors la question suivante : l’homme vit-il selon ses sciences ?
L’homme serait alors devenu… un artéfact !? Nous serions déjà des robots ? Des succédanés d’êtres humains ? Nous ne serions plus rien que d’artificiel ? L’animal humain en serait devenu… inconcevable par l’homme lui-même ?
Et pourquoi pas ?
En tout cas, arrive la question finale qui est celle de l’intérêt de répondre aux questions précédentes ?…

Ce que j’aime,
avec Germaine,
c’est qu’elle me fait confiance.
Elle ne pose jamais de questions sur mes addictions.

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