Ce matin-là, L’aube scintille de reflets pourpres.
une brise furieuse, sifflait sur les cèdres bleus.
Faisant rouler son souffle à la surface des steppes.
Mais le parfum des œillets avait l’odeur du sang.
Les pétales rouillées ont fait roussir la plaine.
Le printemps coagule.
Les plaies bourgeonnent sur les corps.
Et font éclorent des soldats morts.
Le matin se lasse et l’aube s’éteint.
Ce poème résonne de mots forts. J’aime beaucoup. Bravo !
Ce sont des images très puissantes et très réalistes, j’aime beaucoup ce poème.
J’ai gouté la force de vos vers venue de l’originalité de vos associations. Merci pour ce beau poème.
beau poème. j’ai appris le mot chelation ! (merci google)
j’ai peut-être tort mais j’aurais écrit “ce matin-là l’aube scintillait …”
bravo