Bien faire obscurément son devoir et se taire,
Et jusqu’au firmament s’étioler dans l’amer
De perdre ses parents et perdre ses enfants !

Car c’est l’homme-étalon qui pose ces jalons
Du mouroir planétaire, cimetière ardent
Où il perd ses repères, où, de sa vie… fait don.

Paumé de chez Paumés, il s’accroche à l’image,
A la fémininité, à la maternité,
Il se donne au mirage d’un cliché… peu sage.

Ce qui s’écrit ici, c’est le passé de l’Homme.
La femme le transcrit dans la langue usurpée
Qu’il lui aura prêtée, à l’instar de La Pomme.

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