Un matin en me réveillant au milieu des champs, je sentais le soleil frôler ma paille fraiche et c’était agréable, les oiseaux chantaient au dessus de ma tête, le ciel rosissait à peine. S’était beau j’étais heureux. Mais bientôt le ciel changea, le soleil cette boule immense et chaude me frappa de ses rayons je suffoquais, la paille me bruler comme mille dard enflammer. La route au loin qui défilait sous mes yeux sembler un halo de sécheresse  Les oiseaux ses becs avides, tiraient sur la tendre brindille avide de se faire des nids confortable. seul la nuit avec les doux rayons de lune trouver encore quelques répit à mes yeux, dans sa fraicheur je reprenais vie; et me mettait à rêvais d’un avenir meilleur; mais dès que l’aube pointait l’angoisse me guetter. Je décidais de plier bagage, mais comment faire, je ne sais comment j’étais enfoncer dans la terre, mes pieds n’arrivant à toucher le sol; je du donc me résoudre à cette sordide vie. Ma paille séchant au soleil, tout rabougri je suis à présent, je guette toujours l’instant de ma délivrance. Hier quelqu’un sait approcher de mon enclot, j’espérais la victoire proche. On m’a seulement rajouter un compagnon d’infortune.

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