Un zig chelou
Faisait portnawaq de sa vie, squattait l’escalier de sa barre, disait “bien le bonjour” aux vieilles gourdasses qui remontaient, leur cabas plein de bouffe.
Tout le monde priait son Absent de pas le rencontrer le soir. Car son zness à lui, c’était de taxer les plus faibles de leur biffetons. Un vrai voyou, sans états d’âme, un pousse-mégot qu’avait la flemme dans le corps !
Il avait pas son pareil pour bidouiller un sale coup…Pis, c’est parti en sètsu !
Il a zieuté la belle gosse du quatrième, en est devenu raide fou ! L’était prêt à devenir fonctionnaire le zig, avec la cravate et le poulet frites du dimanche.
Y’a pas à dire, depuis la nuit des temps, c’est la femme qui fait tourner l’homme, vrai ?
MDR ! Bravo ! C’est pas si facile la crudité… 😉