Dans une coquille de privation éternelle était cachée une flûte à la sonorité inaudible, car de souffrance naissante la note obscurcissait le dessein du musicien en félicité. Déposée sur le cycle des âges, personne n’incluait l’exquise présence de ce cadeau de l’harmonie.  Alors, que le chant du ménestrel devenait solitude d’expression, l’orchestre soufflait de sa confection une douleur intime et dissimulée, par les arts. Soudain, un nain vola une flûte de pacotille et plaça son effronterie face au public souriant. Il dessina avec verve, une duplication de l’enchantement par la grâce jouissive de son irrévérence musicale. Un succès soudain et lointain sans malédiction devint son refrain en explication textuelle par des sons absolus. Source de conviction, l’imagination a le pouvoir intentionnelle de lier la temporalité des choix. Les bonheurs créatifs, sous l’égide de l’existence,  sont régulés par la contextualisation des êtres personnifiés. Les œuvres deviennent le vouloir du spectateur en béatitude admirative.

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