Connais-tu, comme moi, la douleur savoureuse
De devoir délaisser le bonheur quelque temps?
As-tu déjà goûté au délicieux plaisir de te dire malheureuse
Juste provisoirement?
Tu mêles à la tristesse la sagesse de croire
Qu’elle ne saura durer si tu sais la gérer
Et tu nourris tes pleurs de ce si bel espoir
Que ton mal pour un bien devient réalité.
Oppressée par le vide, tu souffres intérieurement
Anesthésiée, tu feins de pouvoir vivre sans
Eprise et empressée, tu retournes vers lui,
Heureuse et amoureuse, tu recouvres la vie.
Eh bien dis-donc, les algomusiennes sont en forme sur ce vers-là!
Choc, l’incident n’as pas vraiment d’effet négatif sur vos mot, tant mieux ..
Merci, Ma Pie.
Poc
Très beau texte. L’éternel sujet …
Très beau mélange de toutes ces contradictions à partir de cette douleur savoureuse.
Juste la vérité de la vie…..Bien joliment écrit.