Loin du bruit

À travers le chaos des vivantes cités
Je délaisse ce monde hostile et familier
Pour mieux me ressourcer au bord de la rivière
Dans le noble infini du rêve solitaire
La pensée vagabonde et tue les idées noires
qui montent pour mourir dans le beau ciel du soir
La grande majesté de la Nuit qui murmure
Me chuchote des mots me berce et me rassure
L’eau coule lentement dans ce décor radieux
Comme pour s’en aller aux lointains fabuleux
En prenant tout son temps sans penser à demain
Et m’entraîner là-bas vers ces pays lointains
Où trouver le repos le calme et l’espérance
0ù tout m’apaisera dans un profond silence
J’oublierai le tumulte agressif des villes
Et m’abandonnerai dans des plaisirs futiles

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