DRAMES ET MELANCOLIES

Petit recueil

 

 

Pourquoi faire d’un brouillon
L’ouvrage transmis de térèbre et de lumière
Qui fustige ce dernier, ainsi le trait « illusion ».

Aux transcriptions, de légitimes matières,
Sont d’occulter
Leurs médiocrités éponymes

Des racines d’inculture,
Pour exalter les ‘’informations’’
De loyaux laquais
Sous dominantes bêtises
Allant tous, fiers et orgueilleux
Vers la fin empresser
De leurs vieux espoirs d’une morose humanité.

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Si l‘homme pâlit
Devant le plaidoyer
De cette femme au destin salit,
Tantôt ne puise que la fiévreuse pitié,
Il a demandé sa propre mort dans les quatorze becs des éperviers.


Bientôt viendras la justice,
Pour l’innocence ôter,

Car lui,

Devant ce lit garni
De la Chrysanthème injustifiée
Sois sereine bientôt, dans peu de temps tu seras libre !

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Trois malheurs de décennies,
De journée comme de nuit.
Je n’en peux plus que toute ma sincérité,

A être instable dans mes angoisses,

A puiser de ressources interne pour ne pas mourir;

Dans le cœur enragé
Par l’esclavagisme de mon mental,
Comme un lion prêt à tout pour attaquer.

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Un silence flotte sur les côtes,
Et vogue le souffle de l’hiver
Gelant ce qu’il trouve,
De terre ou d’eau, rien ne lui est tenace.

Je sens la désolation que me hantait
Dans son scenario le plus terrifiant,
Qui, s’approprie,
Le chaos n’éliminant pas cette destinée des soifs guerrières dès lors
Épanchées.

Prévalent dorénavant l’art de la cruauté
Ainsi que de l’empirique bêtise humaine,
Sur l’héritage de l’intelligence.

 

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De mes manquements, j’ai appris !
D’autres furent,
La morsure que geint l’esprit.

Dans l’unanime monde d’aujourd’hui,
Inhospitalier,
Ils ou Elles s’empressent de fleurirent
Les tombes de leurs boniments et de leurs cécités.

L’ère des élites vulgarités,
Corruptions,
Modernités obscènes ;
Désœuvrés pour quelques deniers
Dans l’embrigadement,
Leur étendard à faire valoir,
Réalité trop sombre.

La paix !


__________

J’ai tellement vu le dernier râle,
L’ultime et décidé soupir,
Que dorénavant la fosse
Me rend de ses auteurs,
Le trépas de mes honneurs,
Le méchant dont je suis l’incubateur.

Ceux-ci font l’oubli si présent,
Comme un temps assassin et menteur.

 

__________

 

Entre passion mélancolique et « simili » vie.
Semi de graines enrageantes.
L’art de moissonnée
Les vapeurs éthyliques,

Une dévotion aux bris des verres qui chutent,
Dans l’inertie, plaideront coupable
De la naissance des rêves utopiques.

 

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A toute la haine
Et ses contingents,
Je prouve ma peine,
Vaines,

Car vous, vénales,
De l’égo surdimensionner
Tierce et décalé
Vous enviez me serait léthale
Ainsi,
Maudit !
De l’homme qui pactise avec les de ces Etats
Aux allures de tombes ;
De ma solitude je ne tire que seul profit.


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