Humains à la mine
ou bien à l’usine
enchaînés à la machine.
*
Humains sans espoir
plongés dans le noir
ce monde est un laminoir.
*
Humains opprimés
asservis brisés
les révoltes sont matées.
*
Humains dans la guerre
famine et misère
à quoi servent les prières?
*
Humains en errance
vaste transhumance
sans cesse tout recommence.
Je préfère lire vos haïkus comme un poème. J’aime cette cohérence et leurs rimes propres à chacun. C’est votre marque ! bravo ! (j’oubliais : la musique avec la bonne métrique)
Merci, @melanie chaine. J’apprécie vos commentaires critiques / constructifs qui aident à progresser et font réfléchir.