Ni ta voix ni tes mots
Ne seront entendus
Tu finiras pendu
Ou banni, comme un sot !
Tu n’es rien ni personne
À l’aune d’un quarteron
De pédants tâcherons
Battant le glas qui sonne.
Ta révolte étourdie
Et ton indignation
Seront fermentations
Avant qu’on les ait ouïes.
Courbe-toi sous le joug
Et rentre dans le rang.
Si les armes tu prends,
Tu en deviendras fou !
Ils te lapideront.
C’est ainsi que les lâches,
Sous couvert d’une bâche,
Deviennent… mascarons.
(à suivre…)