Des vanités, des guerres ; pourtant l’espoir !

 

Ses formes, dépeignent

Et s’égosillent à clamées la solitude,

Pour que la bonté n’atteigne

Jamais ce Ciel sertie

Des Divines certitudes.

 

Quel nom donné ? aussi triste qu’est : « diable »

Dès lors possédant nos avoirs, mais demain, qu’est de savoir

Qu’l ne sera jamais plénitude,

Dans le cœur des douces, des humbles, et des aimables

 

S’efforçant, s’essoufflant puis s’éteigne

Menant au juste chemins ses ternes formes disparaissant

Dans l’oubli !

Dans sa personnelles convention,

Que seront les anciennes inquiétudes.

 

Mis à néant, oubliant La fratrie qui devient singulière Nation

Que sera, monde, sans jalousie,

Sans violences vous invite au passage

Des infinitudes gratifiantes

Révélations aux actes de renom,

A tout jamais joies et réconfort des peuplades délaissant la guerre.

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