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De justice, il n’y a, depuis que le monde est monde

Toujours je garde en moi la tristesse profonde

Et l’envie  malgré tout, naïve et utopiste,

de voir s’équilibrer les bonheurs sur la piste.

Si la beauté s’étend  par capillarité

Et fleurit les espoirs à l’approche de l’été

Que sous le chapiteau , le clown bon an mal an

réussit à donner un sourire aux enfants 

Je me dis qu’alors, peut-être, l’avenir n’est pas perdu

Que  les ours polaires n’auront pas disparu

Et qu’ici ou ailleurs, il y a, en chaque être

 Une envie de meilleur pour toute la planète.

Voilà, je recommence: naïve et utopiste,

Je fais des cabrioles  tout autour de la piste

et puis revient en moi la tristesse profonde

de voir combien le monde, parfois, peut être immonde.

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