Petrus, pimpant parleur, portait ponctuellement poème à la cité peu peuplée du père pontif. Le pétillant poète était depuis perpète dans les petits papiers du pape, lequel, à chaque printemps, était dans l’expectative des péripéties palpitantes rapportées par le papoteur pistonné.
Parti promptement de Perpignan pour épater les tympans, Petrus avait piteusement perdu tous ses pantoums pourtant préparés. Pris à parti par le Père, il se tamponna les tempes et pondit un impromptu des plus parfaits. Pantelant à l’écoute de cette pépite, le public stupéfait applaudit le ponte des poètes, penaud de tant d’impudence face au pontife pantois.
Sympathique et fantaisiste, j’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce texte!
merci! c’est à lire en sautillant!
Merci d’avoir répondu avec brio à mon algomusement !