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“Physionomie” : quel mot barbare quand on l’applique à la femme ! Ne convient-il pas mieux pour la vache ? Ou pour… le cochon ? 

Ne vous y trompez pas. J’adore les vaches, surtout les vaches sacrées ; et j’aime bien le cochon, surtout le saucisson. 

Mais enfin, caractériser ainsi, comme le fait votre écrivain, ce Monsieur de Balzac, la perception qu’on a de l’autre sexe, n’est-ce pas un peu… simpliste ? 

Voici ce qu’il dit : « La physionomie des femmes ne commence qu’à trente ans.»

Je le reconnais volontiers – étant née 32 siècles avant lui –, la probabilité qu’il me soit intelligible est assez faible. Pourtant, quelque chose me dit qu’il affirme, comment dire, une sorte de vérité. Oui, c’est cela : il affirme, dans son phrasé, une vérité.  

Et cette vérité, oh, tout implicite certes, mais bien présente, est la suivante : il n’y a qu’une femme (sa maman?). Et sa physionomie se dévoile quand elle a trente ans…

“Simpliste”, ai-je dit ? 

Ne vous méprenez pas ! Loin de moi l’idée de critiquer vos idoles ! (Si vous connaissiez les nôtres…) Et en plus, de mes trente-deux siècles d’arriéré, je n’ai pas accès au contexte de la citation, n’est-ce pas ?

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