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30 juillet 2023 at 15h17 in reply to: Comment renouveler mon inscription en tant que membre Premium? #35614
Réponse courte (je prépare une réponse plus exhaustive que je publierai dès que possible sur le site) :
- D’abord, merci de votre souci de vouloir renouveler votre cotisation ! C’est quand même rare de voir des gens dire : “Je veux payer, je veux payer !…”. C’est très encourageant, réconfortant pour nous (Mélanie et moi) qui avons créé ce site, et l’association AlgoMuse. Donc, d’abord : Merci ! Un grand MERCI !
- Il n’est pas (plus) possible de renouveler votre cotisation (votre “abonnement”). Il n’est même plus possible (pour les nouveaux-elles) de cotiser une première fois. J’ai supprimé tous les liens vers le système d’encaissement (Paypal) il y a plusieurs mois déjà, suite à une décision collégiale que nous avons prise (Mélanie et moi), sans la moindre contrainte externe (en conscience, en quelque sorte). Evidemment, nous n’encaisserions pas davantage un chèque et rembourserions tout virement bancaire.
- Tout va bien ! (sourire…)
Tout va continuer. AlgoMuse.FR est probablement l’une des mes plus belles réalisations. J’en suis très fier. J’ai beaucoup de plaisir à y participer – même si je dérape un peu quelquefois, et j’envisage sereinement de maintenir ce site le plus longtemps possible (j’arrive à un âge où je pourrais même dire, pourquoi pas ? : “jusqu’à ma mort”…). Vous le voyez, pas de soucis ! - “Alors, me direz-vous, pourquoi renoncer à nos cotisations ?!” Réponse courte : “elles ne font plus sens”. Autrement dit : elles sont – aujourd’hui – inutiles (injustifiables, à mes yeux). Elles avaient du sens il y a un an (et avant), elles n’en ont plus maintenant. C’est donc, bien sûr, que quelques choses ont changé. Nous y verrons plus clair, là encore, dans la réponse longue, à venir…
- Le statut de “membre premium” ne sera jamais remis en cause, il est “acquis” à vie ! (sourire) Il le sera d’autant plus dans l’avenir de l’AlgoMuse qu’il nous rappellera que ces “PREMIUMS” étaient là tout au tout début !
Voilà, c’était la réponse “courte” (imaginez la “longue”…). J’espère que je vous ai rassuré-e-s : on continue, ensemble ! On ne sait pas encore vraiment très bien quoi, ni pourquoi, mais se dessine quand même déjà le profil incertain d’une entité algomusienne qui pourrait faire naître un être (“naître un être”…? Est-ce horrible ou sublime – poétiquement, s’entend ? J’hésite…).
Prenons le temps comme un allié… Chacun de nous ne s’inscrit-il pas dans une dimension temporelle qui lui est propre ? Comptez sur moi dans la durée, comme je compte sur vous, dans l’actualité.
Bien amicalement,
Guillaume (et Mélanie !)
(Réponse @sklaera mise à jour le 1er juillet 2023)
Pour publier un texte indépendant (donc sous son propre nom d’auteur et non plus seulement en commentaire de l’AlgoZimage), voici la procédure à suivre :
- Se rendre sur la page : Mon Algomuse / Mes textes / Publier un texte long
- Choisir le premier des deux formulaires proposés en bas de cette page (seul ce formulaire convient)
- NE PAS choisir “AlgoZimage” comme catégorie de publication (choisir “essai” ou une autre catégorie…)
- Compléter les champs comme d’habitude et pour le champ “Source de l’image”, y coller l’adresse URL de l’image présente (sous les cœurs) sur la page de l’AlgoZimage
- Pour l’image, le plus simple est de télécharger (sur votre PC) l’image déjà présente sur l’AlgoZimage (clic droit-> enregistrer l’image sous) pour ensuite la téléverser sur votre formulaire (parcourir…)
NB : Attention SVP : le lien vers la page Wikipedia est obligatoire, y compris pour des images se rapportant à des œuvres tombées dans le domaine public. Par ailleurs, seules des images provenant de Wikipedia seront acceptées (toute autre provenance – musées, galeries… – est exclue).
Astuce : pour que l’image apparaisse en même temps que l’avis de publication sur l’AlgoFil il suffit d’enregistrer le brouillon avant de publier (cette astuce vaut d’ailleurs pour toutes les publications).
Conseil : donnez un titre différent à votre texte (on verra qu’il s’agit d’une réponse à une AlgoZimage puisqu’on aura l’image initiale et qu’il sera classé dans la catégorie AlgoZimages)
Ainsi publié, votre texte apparaîtra dans l’AlgoScène (et dans vos textes).
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Et hop !, voilà le travail : il est maintenant possible de modifier les commentaires (donc les textes publiés sous les AlgoZimages) pendant 24h 🙂
Sourire… Bravo pour la réplique !
Cela dit, tu compliques amplement la rythmique… Tout semble devoir se précipiter… Et en plus, il faut redescendre sur Terre ce me semble… Arf ! pas trop mon truc à moi la Terre… J’espère que quelqu’un d’autre pourra écrire les deux vers suivants…Je propose :
Joconde navrante toute grosse de l’air
J’emmène ma pita vers la haute atmosphère(bon, d’accord, je pousse un peu le bouchon côté “surréalisme”… 😉 )
Il prit son smartphone et appela “Dieu”, un futur-nouveau-vieux pote de la 392ème promo de l’Ena, devenu expert en gestion de patrimoine et de réseautage, qu’il se ferait le surlendemain. Oui, par on ne sait quel mystère, la FDJ, quand vous gagnez, fait ce genre de miracle…
“Allo, Dieu ?…
– Oui c’est bien moi ; quel est ton chiffre ?
– Deux cent trente millions et…
– Oui oui, je te vois : Bernard, hein ? Tu es éligible mon cher ami ; je t’écoute. Comment puis-je t’aider ?
– Ben voilà, c’est Marc. J’arrive pas vraiment à le prononcer…
– Comment, que veux-tu dire mon cher ami ? Marc est Marc, où est le problème ?
– C’est que, justement, Marc pourrait aussi être marc, ce n’est pas très lisible…
– Oh, je vois… Non, non, ne t’inquiète pas : Marc est bien Marc, tu peux le croire. D’ailleurs, croire est bien ici le sujet : aucune magie, aucune supercherie à redouter : tu as bien gagné et tu es tout puissant ! Oh, certes, il est bien imprudent d’invoquer “M” dans son discours ; “M” a bien d’autres chats à brûler, crois-moi, mais c’est humain : ni Marc ni toi ne pourriez imaginer la complexité dans laquelle vous vous débattez… Et si “M” n’était pas là…
– Pourtant, Dieu, si tu voulais bien m’expliquer…
– T’expliquer !? Nous y voilà… C’est plus fort que vous décidément. Il faudra bientôt rationaliser, n’est-ce pas ? Il n’y a rien à comprendre mon cher petit Bernard. Rien. Tu as gagné, tu es puissant. Point.
– Oui mais, alors, attends, je réfléchis… Oui, cette puissance justement…
– Ah ah ah ! Comment l’exercer, hein ? Ah… c’est bien là que cela se complique, n’est-ce pas ? Car il faut d’abord l’admettre avant que de l’exercer. En d’autres termes : existe-t-il puissance qui ne fusse obédience ? N’est-ce pas ? C’est bien ta question ?
– Euh…
– C’est simple : ce que dit le marc, c’est qu’il lui faut de l’eau ! Sans eau, pas de marc. Et tu possèdes maintenant, le moyen de faire de l’eau… Sauras-tu l’activer ce moyen ? Devras-tu l’inventer ? Cette goutte d’eau virtuelle, que sont tes deux-cent-trente millions dans l’océan mondial de la capitalisation que l’homme a fabriqué, te permettra-t-elle de changer le cours des fleuves ? Que vas-tu nous faire ? Des “méga-bassines” ?”
Mais déjà, 19h sonnaient. Tout se perdait aussi dans la passage à l’heure d’été, car c’était le même jour. Les vapeur d’alcool…
— Hector ! Tu m’as retrouvé, s’écria l’aveugle, tendant les bras vers l’avant, paumes grandes ouvertes. Le fidèle compagnon ne put que se ridiculiser un peu en dérapant du train arrière pour stopper sa course folle. Il en heurta même le guéridon de pacotille qui portait le faux vase chinois qui contenait les fleurs en vrai plastique, et le monde bascula brutalement !
Le vase était cassé. Les filles hurlaient, histériques. Le chien haletait et grognait, chimérique. Mais Théodore, lui, relativisait, stoïque. Sa main caressa l’oreille gauche d’Hector, qu’il souleva délicatement pour se porter ensuite du même mouvement, très lentement, à la position qui lui permit de murmurer à son ami : “Ne t’inquiète pas, tout va bien ici. Dis-moi plutôt comment cela s’est passé avec cette belle malinoise — si j’ai bien compris de ses aboiements — qui t’a rendu assez fou pour m’abandonner, tout à l’heure ? Vois-tu, mon fidèle compagnon, c’est notre soirée “malinoises”, je crois, à toi et moi. Là, calme, calme-toi, calme… Calme…”
Le chien ne répondant point, les dames s’étant calmées, notre héros comprit très vite qu’il restait, pour un temps, seul en scène. Le silence s’était fait, il écrivait la pièce :
— Savez-vous, mesdames, ce que me rappelle cette situation ? Vous allez trouver cela bizarre, mais regardez : je vivais à La Crau, pas très loin d’ici comme vous savez, et j’étais presque aveugle, enfin, pas tout à fait quoi… Mais j’avais réussi de me faire octroyer par les services sociaux, le service, justement, d’un auxiliaire de vie. Il aurait vocation à me faire la lecture ! Tout simplement…Là où cela s’était un peu compliqué, “à la malinoise” si vous me permettez cette expression bien de chez nous, c’est quand l’auxilaire devint une auxiliaire. Car alors, étant entendu que je choisissais les lectures, me vint à l’esprit que peut-être d’une pierre…
Pour moi, “tu” ou “vous” ne fait aucune différence. J’accepte l’un et l’autre avec indifférence, sous la seule réserve qu’ils soient évidemment réciproques et mutuellement librement acceptés.
J’ai vécu dans des pays (des cultures) où le “vous” n’existe pas (ou, quand il existe, ne sert qu’à s’adresser à la Reine…). Près de vingt ans… Cela relativise un peu le rapport que j’ai au vouvoiement en ma qualité de Français. “Tu”, “vous”, sincèrement, pour moi, AUCUNE différence.
Cependant, sur un tout autre plan, si je devais donner mon avis (ce qui est le but de ce sujet de forum, n’est-ce pas ?) pour l’AlgoMuse, eh bien, je choisirais sans hésiter le vouvoiement !
Pourquoi ? Eh bien simplement parce que c’est original ! Aucun site littéraire (sur le Web), ni d’ailleurs à peu près aucun site web d’aucune sorte…, ne préconise le vouvoiement ! C’est un peu comme si le Web était par nature une nouvelle “Cour des miracles” ! Alors je vous le demande : pourquoi n’en ferions-nous pas autre chose ? La cour de Louix XIV par exemple.
Le vouvoiement empêche-t-il l’expression sincère des idées, des sentiments ? Et le tutoiement les favorise-t-il ?
Non, non. Moi, je vote pour le “Vous” !
Et vous, qu’en pensez-vous ? (Imaginez que je vienne d’écrire : “Et toi, qu’en penses-tu ?” !!)
[sourire… Vous l’avez bien compris : pour moi : no difference 😉 ]
[Proposition initiale]
Il avait déambulé dans les rues obscures de la vieille ville jusqu’au petit matin, moitié ivre, moitié mort, pour finir par s’affaler sur la paillasse de son taudis. Comment était-il rentré ? Lui-même l’ignorait. Combien de temps passé dans ce coma éthylique ? Quelle heure était-il, d’ailleurs ? Il alluma machinalement le smartphone, et l’outil infernal lui balança un bip et une vibration : le message était toujours là, comme la veille, en plein cœur de l’écran…
Il n’arrivait pas à penser. Se concentrer plus de quelques secondes lui paraissait impossible. Son regard vitreux balayait l’objet sans qu’il pût dire s’il le voyait, ou le rêvait. 14h17, c’était l’heure. Il pensa que s’il voyait l’heure, il voyait l’objet. Mais ces chiffres, là, au centre, le nombre qu’ils formaient ne pouvait être réel ! Deux cent trente millions d’euros ! «Félicitations Bernard ! Vous avez gagné 230 000 000€ !», signé : “FDJ”. Depuis sept ans qu’il végétait au RSA, que pouvait-il lui arriver de pire ?
Il se dirigea vers le frigo, l’ouvrit, prit une bière et la but. Puis une autre, et une troisième. Il ralluma l’appareil, regarda. Le message semblait y être encore. «C’est injuste, pensa-t-il. Les enfants vont revenir. Peut-être même qu’Elle reviendra. Non, c’est sûr : Elle reviendra… Pourquoi faut-il que ça tombe sur moi ?» Le bossu de Pagnol lui traversa l’esprit. Allait-il insulter Dieu, lui aussi ? Non, cette malédiction n’était pas un coup du vieux barbu. Il le sentait…
Où avait-il passé la soirée ? Chez Polo bien sûr, comme chaque soir. Enfin, pas tout à fait. Il y avait cette nouvelle barmaid, plus pulpeuse qu’une poire bien mûre, et cet homme étrange, élégant, avec son drôle de chapeau cornu et sa pipe aux allures médiévales. À son arrivée, vers 19h, l’un et l’autre discutaient à voix basse, penchés sur le bar. À peine avait-il rejoint son tabouret d’angle que la blondasse lui avait servi sa Leffe, sans même demander. Le personnage énigmatique s’était très vite approché, bardé d’un sourire qui brillait d’intelligence bienveillante…
[À vous de jouer ? Proposez-moi une suite ci-dessous, dans le cadre “Répondre à…”]
Excellente question ! Merci de l’avoir posée aussi clairement. J’espère qu’il y aura beaucoup de réponses ! (Ces réponses nous aideront à mieux tracer [ensemble] le chemin du développement du site, qui, à ce stade, reste “expérimental”… Non qu’il soit questionnable dans sa durée, mais, en quelque sorte, dans sa “métaphysique” [le sens de son destin? – sourire…])
J’apporterai ma contribution au fil du sujet. Déjà, je peux dire une chose : j’ai travaillé à améliorer mon dernier texte (“Un destin scellé”) il y a deux jours : j’ai passé plus de 90 mn à réécrire une liaison de 5 lignes… (Bon d’accord, je ne suis pas forcément un bon exemple, n’étant pas écrivain “de métier”…). Autrement dit, pour moi, les 20 mn prennent tout leur sens dans un atelier d’écriture en présentiel. (Je reviendrai sur ce point crucial au fil de la discussion…) Ici, sur le site, de mon point de vue, on s’attend davantage à lire un texte déjà travaillé. Pas forcément parfait (…), mais en tout cas pas “brouillon”, pas une ébauche… C’est presque une injonction paradoxale : écrire spontanément, dans la durée la plus courte possible, un texte déjà structuré !
Je suis très très impatient de lire les autres réactions-réponses à votre belle et précieuse question !
Chère Mapie, vous allez pouvoir commettre autant de fautes que vous voulez (dans vos commentaires) maintenant ! Et moi aussi… Pendant 60 minutes en tout cas, sauf si… 😉
Merci à vous de nous faire progresser avec vos critiques/suggestions.
PS : remarquez qu’il y a plein d’autres possibilités introduites dans cette modification :
- on peut maintenant “suivre” un-e commentateur-trice ;
- déterminer soi-même l’ordonnancement des commentaires ;
- “liker” (approuver/désapprouver) un commentaire ;
- supprimer (!) soi-même un commentaire qui nous aurait “échapper”…
- etc.
C’est une petite révolution pour AlgoMuse. On vous la doit un peu. C’était un “chantier en perspective”, vous l’avez transformé en “priorité”. Merci encore.
20 janvier 2022 at 17h21 in reply to: Le système des cœurs ne dissuade-t-il pas de commenter? #16620Il y a les deux, chère Mélanie. L’on peut à la fois, et l’un et l’autre, mettre des cœurs (c’est-à-dire, soyons clairs: noter), et/ou commenter.
L’idée, pour passer de 5 cœurs à 10, était d’atteindre à une exigence de précision plus grande dans la “notation” (le jugement?). En quelque sorte de “forcer” le “juge” à “justifier” de son “verdict”.
Je conviens avec toi que “les légendes son formatées”, et je suis preneur (et demandeur) de toute proposition en la matière.Cela dit, moi-même, quand je mets des cœurs, je tiens rarement compte des “légendes”… Quand j’aime vraiment beaucoup un texte, eh bien je mets 10 cœurs ! tout simplement. Aucun système (a fortiori “système de notation”) n’est parfait…
Par contre, je vais publier un nouveau sujet sur ce forum pour expliquer comment se construit le “Top 20 Coups de cœurs”… Car là, j’avoue qu’il peut sembler difficile à comprendre d’y trouver des textes qui ont 7 cœurs quand on n’y trouve pas d’autres qui en on 9…
vous êtes trop bon… mais comme je me méfie de la bonté, je vous ai remboursé avec 8 coeurs sur le collège… (vous voyez bien que je suis méchante, non!)
Mwouais… Moi qui suis méchante j’aimerais bien savoir quand même qui me donne des coeurs… Surtout quand il n’en donne qu’un ou deux…
C’est bien ça. J’ai mis @nefertiti au bout des titres de mes textes. J’attends les mails du coeur avec impatience…
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