Mon destin est tracé, tout est écrit déjà,
Et par les rues tortueuses de Calcutta,
J’erre dans la misère et tâche de me faire
A l’idée de l’enfer d’une vie éphémère,

Qui marquera mon corps des stigmates brûlants
De mâles dominants qui, même en Occident,
Trouvent toujours moyen de pouvoir justifier
La protection d’airain qu’ils doivent nous imposer !

Modi n’est pas Gandhi – n’est pas Gandhi qui veut ;
Je suis une Intouchable – et ne l’est pas qui veut,
Mais j’ai Wikipedia – qui n’est pas qu’un média,

Pour éveiller en moi la révolte de foi
Qui détruira la loi de tous les pseudo-rois !
Ceci n’est qu’un aria*, je m’appelle…: Maria.

PS: Si tu aimes mon poème, tu sauras faire de mon aria, “une” aria ;
et peut-être qu’alors, Maria, et toutes les autres “Marias” du monde (y compris en France)…

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